Une vie de peu de vie, hypertendue, perdue, fondue dans la survie sans vie et des épanchements de synovie ; l’existence en Haïti est trop longtemps néantisée, percutée dans la contusion, noyée dans l’effusion de sang et babélisée dans un océan de confusion.
L’administration publique est pédantisée dans la sinécure onéreuse – au frais de la princesse en détresse – par des représentants malséants; la parole politique est abracadabrantisée dans la flagornerie par des prostitués de l’onde qui clouent au pilori la dialectique et la maïeutique. Du sang innocent coulé à flot dans un rouge vif, des rires jaunes, un avenir noir, une peur bleue sous un ciel nuageux, la confiance est hypothéquée dans une méfiance généralisée qui se solde dans la malveillance exterminatrice.
Le système bancaire bancalisé dans une prévarication inexorable et une falsification infectieuse; le temps effectif anéanti dans la chronophagie budgétivore ; au final, les fossés économiques béants sont davantage creusés par les géants Pharaons, affairistes et champions de la corruption, au timon des affaires décisives de la nation.
Faux-fuyant, faux-semblant, faux-positifs lancés par des faussaires, en des faux-airs de libérateurs et de sauveurs à travers des partages résiduaires puis la création de forts faux-billets dans le paysage pris en otage, ces actuels contrefacteurs s’érigent en pratique contre les facteurs déterminants pour une prospérité partagée au profit de la collectivité et de la postérité. 4 figures sans figure notoires et bitkòb pour avilir l’inflation et traquer la folie exagérée du taux de change ; 5 kòb et 10 kòb de coup d’épées dans l’eau. Fausse thèse. Foutaise !
Une vie de peu de vie, hypertendue, perdue, fondue dans la survie sans vie et des épanchements de synovie ; l’existence en Haïti est trop longtemps néantisée, percutée dans la contusion, noyée dans l’effusion de sang et babélisée dans un océan de confusion.
Mercredi 21 avril 2021 ((rezonodwes.com))– L’administration publique est pédantisée dans la sinécure onéreuse – au frais de la princesse en détresse – par des représentants malséants; la parole politique est abracadabrantisée dans la flagornerie par des prostitués de l’onde qui clouent au pilori la dialectique et la maïeutique. Du sang innocent coulé à flot dans un rouge vif, des rires jaunes, un avenir noir, une peur bleue sous un ciel nuageux, la confiance est hypothéquée dans une méfiance généralisée qui se solde dans la malveillance exterminatrice.
Le système bancaire bancalisé dans une prévarication inexorable et une falsification infectieuse; le temps effectif anéanti dans la chronophagie budgétivore ; au final, les fossés économiques béants sont davantage creusés par les géants Pharaons, affairistes et champions de la corruption, au timon des affaires décisives de la nation.
Faux-fuyant, faux-semblant, faux-positifs lancés par des faussaires, en des faux-airs de libérateurs et de sauveurs à travers des partages résiduaires puis la création de forts faux-billets dans le paysage pris en otage, ces actuels contrefacteurs s’érigent en pratique contre les facteurs déterminants pour une prospérité partagée au profit de la collectivité et de la postérité. 4 figures sans figure notoires et bitkòb pour avilir l’inflation et traquer la folie exagérée du taux de change ; 5 kòb et 10 kòb de coup d’épées dans l’eau. Fausse thèse. Foutaise !
Au cours de cette décennie d’ineptie caricaturée dans une grossesse politique ectopique en perdition, insomniaque, tourmentée dans la cacophonie tonitruante – au son d’une cymbale de tonnerre dans les cérumens de notre république assourdie et abasourdie- la sureté publique a été fainéantisée en raison de la myopie des « Apredye » paranoïaques et maniaques qui parrainent et fédèrent la délinquance et la criminalité dans une fâcheuse risibilité et une bestialité à profusion.
Les étoiles du dedans et du « pays en dehors » sont débrillantisées dans une désinvolture paroxysmique et la jeunesse est délinquantisée en des pratiques de perversion, de décapitalisation et de décapitation à outrance. Une inique cohérence dans l’incohérence cynique, la relève de la médiocratie rancie a été déléguée à un suppléant mécréant qui dame le pion à ses débiles prédécesseurs de la bêtise multiple en gribouillant le tissu national – jadis panthéonisé dans les grands salons – de toutes les couleurs psychotiques d’une impérieuse kakistocratie grandiloquente.
Plat complet de la dégénérescence – rabòday, deblozay, grapyay, zagribay, ratkay, briganday – le chemin du succès est gluantisé, l’imposture galantisée ; le chaos est gigantisé via des discours pyrogènes dans une flopée de coups d’épée verbaux des «Apredyab» impotents, indécents et cruels qui font le doigt d’honneur en des courroux majeurs, qui pointent les antagonistes à l’index et menacent en des incendies et des accidents en tournant leurs pouces vers le bas. Même les saines initiatives de la sainte cène, soit les plus sereines, sont tétanisées.
Le Léviathan scotché dans l’addiction et la monomanie sophistique au fauteuil présidentiel bourré de punaise, s’apprêterait à y demeurer par voie référendaire arbitraire pour gouverner sur les lézards et les scorpions ad vitam aeternam.
Aucune crainte des lieux sacrés, l’université a été saintilarisée à cause de l’épistémophobie des envoyés spéciaux de la destruction brutale de la matière grise loyale. Plus récemment, les synagogues n’ont pas été épargnés du gaz lacrymogène, des immixtions criminogènes ni des vagues de kidnapping perdant la tête dans une fourmilière de corps sans cœurs et de têtes sans cerveaux que seuls des coups de pieds fermes de la sainte colère populaire sauraient éparpiller pour les piétiner et les cloitrer au Pénitencier pour le temps et pour l’éternité. Vox Populi, Vox Dei. Sinon, la fin des temps pour notre exquise surface caribéenne !